Dans le tome I du Deribier du
Châtelet, Henri de Lalaubie décrit la rivière
d'Authre et dit :
" En effet, les coteaux se rapprochent, de dénudent
; les dentelures de la roche font saillie de toute part ; le lit
de la rivière se remplit de blocs qui ont roulé
dans son sein ; une nouvelle cataracte des fait entendre. Les
eaux, pressées et refoulées par les rochers, écument
et se précipitent au milieu d'eux, tandis que sur la crête
de la montagne, à mille pied au-dessus de la rive, un vaste
et haut castel avec créneaux, tourelles, meurtrières
et mâchicoulis, commande la gorge sauvage, rude et puissante
image de la domination féodale ! Ce château, c'est
Viescamp. "